Nom : Karéro
Prénom : Byorn
Age : environ 35 ans
Race : humain
Camps:arachnéen
Classe: guerrier
Qualités* : Byorn est très fort, courageux et résistant à l'alcool.
Défauts* : Byorn est très idiot, il a tendance à pousser un peu trop sur l'alcool, même s'il y résiste bien, il est assez lent et très arrogant envers les autres humains.
Description mentale** : Byorn est mentalement bête, établir une stratégie, résoudre des énigmes, c'est vraiment pas son fort. Même pour s'amuser, il n'a pas vraiment l'habitude. Il a nourri une haine envers les humains, ce qu'il fait qu'il est détestable avec eux. Mais il peut quand même se montrer amical. Parfois même avec des humains, même si c'est rare.
Description physique** : Byorn est un énorme tas de muscle. IL est assez grand, 2m10, et assez lourd, 110kg. Il a un petit visage, souvent caché par son casque. Des yeux noirs et un gros nez. IL est souvent avec son armure, et une épée, presque aussi grande que lui parcours son dos. IL est assez lent, mais il frappe très fort. IL mange énormément, mais il le dépense en se battant.
Histoire* : Je suis né sur une petite île, entre l’Alesaëk et l’Ile de l’oracle. Je ne me souviens que d’un homme, toujours caché par une grande cape. J’ai toujours ignoré si c’était vraiment mon père, mais c’est lui qui m’a élevé, qui m’a nourri. J’aurais peut-être préféré mourir dans la nature sans que personne ne s’occupe de moi, plutôt que d’être élevé par cet homme. Mais le destin en à décidé autrement. Quelque chose de blanc et qui faisait une étrange sensation quand on le touchait se posait parfois sur l’île. Le maitre m’avait dit que c’était de la « neige ». Quant à mon éducation, Le maître voulait peut-être faire de moi une machine. A Quatre ans, j’ai commencé à apprendre à manier l’épée. A six ans, je portais déjà des armures, moins lourdes que celles pour adultes, mais assez lourdes pour ruiner mon corps. Je débutai très tôt sur les champs de batailles, même quand la neige tombait en rafale, même quand il gelait à glacé le souffle. Et pendent tout le temps que j’étais avec lui, c’était que ça : entrainements et bataille. Un jour, Le maître s’était énervé contre moi, même s’il m’élevait comme une machine, c’était rare qu’il s’énerve. IL parlait toujours la même chose, je n’y comprenais rien. Je ne savais seulement quelques mots. Et qu’il se mette en colère, je ne comprenais pas. Pourquoi est-ce qu’il se mettait en colère ??? Je n’avais pas de sentiment moi. Alors je le frappai. C’était plus fort que prévu. J’entendis un craquement, puis plus rien. Il ne restait du maître que ce qui reste des créatures sur les champs de bataille. Je m’accroupis près du maitre. A ce moment là, j’avais peut-être 25 ans. Un liquide chaud coulait sur mes joues. Je ne savais pas ce que c’était, mais c’était la première fois que cette chose sortait de mes yeux. J’étais maintenant trop vieux pour ne pas me soucier de ce qui arrivera comme le maître n’est plus là. Comment allais-je me nourrir ?? Comment allais-je me débrouiller seul ?? Je ne savais pas. Je sortis donc de notre abri, et je marchai tout droit.
Aujourd’hui, cette chose blanche tombait du ciel. Mais je ne m’en préoccupai pas. C’était si fréquent. Je marchais, toujours et encore. Quand mon pied, au lieu de se poser sur de la terre, et faire le même bruit régulier, je marchai sur une chose de dure, et lise, quand on la touchait, ça faisait la même sensation que la neige, même plus forte. Je faillis tomber, à plusieurs reprises. Je restais près de la limite entre cette chose dure. Mais, je ne pus l’éviter, je tombai. J’entendis un craquement sourd. Et toute la chose se fêla en long. Et une petite partie où j’étais se cassa complètement pour Me laisser entrer dans un liquide, avec la même sensation que faisait la chose dure et blanche quand on la touait. La même sensation beaucoup plus forte, énormément plus forte. Carrément plus forte. Extrêmement plus forte. Je sortis en vitesse de cette chose pour revenir sur la terre. Je m’allongeai. Cette chose m’avait vidée de toutes mes forces. Tout mon corps tremblait, j’avais mal. Mal comme quand je m’étais pris une épée dans la cuisse, comme quand j’étais tombé parce que j’avais voulu escalader notre abri. Mais c’était tout le contraire que quand j’étais tombé dans le truc jaune et brillant que faisait souvent le maitre pour nous faire du bien. J’avais appris que de loin, ça fait du bien, mais que ça n’aime pas qu’on touche. Ca faisait aussi mal que cette fois là, mais c’était tout le contraire. Pendent que je pensais à ça, mes yeux se fermaient, et de plus en plus, mon esprits semblai quitter mon corps. Et de ce moment là, je ne me rappelle que d’une main qui m’agrippait.
Quand je me réveillai, j’étais dans un endroit agréable, doux et tout moelleux. Pas comme le rocher couvert de peau que me donnait le maitre. Mais juste après, j’eu mal, très mal au pied. Je regardai. Je poussai un cri. C’était horrible. Cette chose liquide, était un peu comme la chose jaune, les deux mordent. De la chose jaune, j’avais une énorme cicatrice. De la chose liquide, j’avais…Un doigt de pied en moins. Il me manquait un orteil ! Le gros avait disparu ! Une créature entra dans la pièce. Elle me ressemblait un peu, sauf qu’elle n’avait pas les cheveux qui poussent au menton, elle était toute petite et toute fine. Je regardai cette bête avec un regard étonné. Elle me parla, le même langage que le maître. Et moi je ne comprenais rien. Mais, je connaissais quand même quelque mot, dont le plus important :
« Manger ! »
La chose me regarda avec des gros yeux puis elle revint, avec un gros rat, mais bizarre, il n’était pas avec un morceau de bois dedans comme quand le maître le faisait, il était sur un plat. Mais ce qui me poussa à le manger, c’était sa délicieuse odeur. Ce gros rat était extrêmes bon. Elle avait aussi pris autre chose un autre truc plat, avec un espèce de tube. Et elle me dessina ce que je venais de manger. Elle me dit un mot. Que comme à mon habitude je ne comprenais pas. Mais elle le répétait. Comme si elle voulait que je le répète. Alors je le répétai. Elle fit un grand sourire. Et je compris que ce que je venais de manger, c’était du :
« Sanglier ! »
Et comme ça, Elle m’apprenait à parler.
Cinq ans se sont écoulés. Maintenant, je parle à merveille. Et je connaissais beaucoup de chose sur ce qui m’avait mordu : Le feu, et la mer gelée. J’avais aussi appris à avoir des sentiments. Et la créature qui m’avait sauvée, c’était une femme je passais beaucoup de temps avec elle. Et aussi avec mes autres amis que je m’étais fait. Il était tous beaucoup plus petit et fin que moi, mais très gentil. Et comme ça, je vivais dans une ville. J’avais appris que cette ville se trouvait sur une île. Juste à l’ouest de celle de mon origine. Je savais maintenant chasser, pêcher, et même cultiver des plantes. D’ailleurs, un jour, j’étais parti cultiver ces plantes, j’aimais bien cultiver. J’étais seul ce jour là. Je chantonnais un air. Mais un autre bruit troubla ma chanson. Un bruit qui me troubla. C’était un cri. Qui venait de la ville ! Je lâchai mes outils et courus jusqu’a la ville. Lorsque j’arrivai, Je ne vis que Agita courir vers moi. Elle me murmura quelques mots :
« Byorn, vis heureux, et sois sou… »
Un autre bruit coupa sa phrase, une flèche s’était plantée dans le dos d’Agita. Elle s’écoula, le long de mon corps Je la regardais. Elle était maintenant morte. Elle avait fini comme le maître. Je relevais les yeux. L’homme qui avait tiré encocha une autre flèche. Il tira. Elle me troua l’épaule mais je n’en n’avais que faire. Il avait tué Agita. Je couru vers lui. Il décocha une nouvelle flèche. Elle m’arriva dans l’autre épaule. Il n’eut pas le temps de décocher la troisième. Sa tête roula à terre. Je vis le reste du groupe partir. Des hommes. Je fouilla la ville. Tout le monde avait été tué. Plus aucun survivant. Je pleurai. Maintenant, c’était à moi de garder la ville. A moi de garder les champs. A moi de protéger ce qui me restait. Pendent longtemps, je nourris une haine envers les hommes. Une haine envers ceux qui on tué mes amis.
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avez-vous lu le reglement? : Bien sur
Particularité : aucune
Prénom réel : Clément
Age réel : ça, je le garde pour moi
Pays réel : En france
Comment avez-vous connu le forum ? : C’est sur un autre forum, on a parlé de celui là et je l’ai trouvé très bien fait donc je m’y suis inscris.
Sujet: Karéro Byorn 
Mar 13 Nov - 9:19
et merci
