le gardien de la forêt rencontre un assassin

Tant de furstration, de tristesse, de colères, étaient ressentis en ces lieux, en même temps, pourtant, une prfonde, harmonie, légère et douce, naturelle... Depuis plusieurs heures, le archet de Mirian se promenait sur les cordes du violon qui l'avait suivit depuis son départ.... cela semblait remonter à si longtemps...Le oiseaux semblaient s'être arrêtés de chanter, enfuis par le son inconnu ou alors taits pour écouter le jeune femme... Ses cheveux légèrment bouclés retombaient sur son dos, bougeant au gré de ses mouvements et de la brise.... Les yeux clos son âme en diapason avec l'instrument, plus rien n'existait dans l'esprit de Mirain... la pluie aurait put s'acharner sur son être, la tremper de la tête au pied, rien d'autre importait que d'entendre ce son régulier, mélodieux quis 'élevait dans la forêt avec les frottemetns de l'archet et du violon, comme si ce dernier était l'âme incarnée de l'arachne... toute la peine du monde semblait résonner dans cette mélodie... Peu importe si on l'entendait, si un garde aprochait.. Elle n'aurait qu'à se dire fille de barde ou ménestrelle.... Tous la croiraient en voyant son allure et son seul bagage qu'était son violon..... puis, un craquement se fit entendre..... un autre plus près... La musique du violon sembla ralentir... Finir le morceau, voila l'important... Une fois la pièce terminée, elle se retourna et vit un éclair orangé près d,un buisson.....

-Qui est la? Montrez-vous....

Mirian garda tant bien que mal son sang-froid face à la situation... Ses pensées allaient à la vitesse de l'éclair.... Elle ne bougea pas malgré le regard froid et sauvag du félin qui sembalit la regarder avec une impression presque humaine....Elle mit sa main devant elle afin que l'animal puisse savoir qu'elle ne lui voulait aucun mal.... Mais une certaine appréhension lui nouait les entrailles lui refusant le moindre mouvement.... Dans les rayons de la clairière, les griffes sombres et les pelage de l'animal brillaient, comme surnaturel...

*Ce n'est qu'un cauchemard.....*

-Tu veut que je joue c'est ça mon grand?C'est ça que tu veut?????

Elle joua quelques notes sur son violon, luttant pour ne pas continuer la mélodie qu'elle connaissait par coeur.... Elle fit quelque pas vers le tigre comme une fillette parlant à sa peluche...

-Tu est bien sage.. d'accord?

Elle mit la main devant le tigre, craignant que l'animal ne la lui morde... Il devait pourtat savoir qu'elle ne lui vouait aucun mal....

Malgré les qulques tremblements de l'archet au début, la musique gagna rapidement l'âme et le coeur de Mirian effaçant ses peurs, la moindre des ses émotions canalisée dans cet instrument dépourvue d'âme, faîtes seulment de bois, une apparence fragile et raffinée.... L'instrument semblait vivre entre les mains de la jeune femme comme si le tigre et les milles oiseaux et rapaces qui l'entouraient n'existaient plus... Le contact avec la fourrure doucce de l'animal et la jambe de l'humaine n'était qu'à peine dans l'esprit de l'arachne....Le crin qui composait l'archet montait et descendait perdant un à un ses fils, comme possédé.... La musique devenait plus rapide, endiablée mais conservait son ton mélodieux... Les oiseaux s'étaient tuts, le seul bruit qui fendait l'air était le son du violon....Le temps, le leiu, plus rien n'avait d'importance, elle canalisait dans sa musique tout son passé, toute sa peine, les meurtres qu'elle avait fait et ceux qu'elle allait faire mais également ses joies et ses espérances....Sur une derniere mesure qui sembla venir trop rapidement pour Mirian, l'archet s'rrêta sur un note douce et elle pencha sa tête sur le tigre....

-Toute bonne chose à une fin..... Je suis stupide.. Je parle à un félin......


elle posa sa main sur le tigre à un endroit où il n'y avait pas d'oiseaux.. elle flatta doucemetn la fourrure orangée de la bête..... Dire que tout cela avait commencé avec une simple mission d'espionnage qu'elle s'était donnée à elle-même... En fait que le chef lui avait donné, trop peureux pour risquer sa vie, il envoyait ses légions se faire poignarder.... mais bon...

Vamdrack écouter calmement la musique s'élevait du violon une douce armonie avait fait place dans cette foret. Soudain une note marquant la fin de la musique sonna, valdrack sentie la main de la jeune femme passai sur son épaisse fourure. Sa voix s'élevant dans l'aire lui disant que c'était la fin de la représentation, mais aussi remarquant qu'il aurait était idiot de parler à un tigre. Enfin du moins avec tout autre tigre que lui celà ne se serai pas fait, l'animal n'aurait pas attendue pour sauter à la gorge de la jeune fille. Mais Valdrack décida de découvrire son identité à la jeune femme, bien qu'il ne voulait plus d'élève et qu'il ne montrerai pas sa véritable apparence, il dit d'une voix calme:

"Avec tout autre tigre que moi bien sur, mais heureusement pour vous je peux parler et m'exprimer."

Valdrack attendit de voir la réaction de la jeune femme avant de continuer de parler, il ne la lacha pas du regard la sondant.

Mirian regarda attentivement les yeux du félin où elle crut un instant voir scintiller uen lueur d'intelligence... Non, c'était impossible, un animal ne pouvait pas être doté d'intelligence, pas plus qu'un homme le pouvait XD. La jeune femme sursauta en entendant un crauqment de brindilles derrière elle.... Elle ne se retourna pas, trop habtiuée pour cela... Elle savsit qu'elle devait faire comme si elle n'avait rien entendu, que rien en s'était passé pour pouvoir prendre son assaillant par surprise plutôt que l'inverse... Mais elle vit rapidement qu'il n'y avait en fait personne derrière elle mis à part une belette qui passa rapidement derrière elle en soulevant des brindilles et des feuilles au passage.... Tandis qu'elle était dos au tigre, son violon et son archet pendant dans sa main gauche...Inconscimment, elle était certaine que l'animal orangé ne l'attaquerait pas, du moins, pas pour le moment.... Puis, une voix grave, profonde résonna dans la forêt accompagnée d'un sont guttural entre le grognement et le ronronnement....Encore une fois, elle regarda derrière elle s'attendant à voir un homme derrière elle... Sa lame était sortie dans sa main droite, sa main gauche tenant son violon ainsi que son archet... Elle tentait de conserver son sang-froid, sa lame brillant en rencontrant un rai de lumière qui passait entre les arbres denses... Elle se retourna vers l'animal le regardant dans les yeux...

-Vous... Vous avez parlé?

Puis, elle commença à rire...

*Allons donc, c'est impossible qu'un animal parle.... Les elfes, les hommes certes masi les animaux?*

-Tu es folle Mirian....

Malgré tout, elle garda sa lame sortie au cas où... Elle se entait chez elle dans cette forêt même si elle faisait partie de l'Empire... Cela lui brisait le coeur mais le moment n'était pas aux larmes... Ce n'était jamaiss le moment pour les larmes.... Un autre bruit se fit entendre derrière elle, terriblement près... Une bellette? Cette fois, ignorant tout ce qu'on lui vait appris, elle se retourna et put voir une forme entre les feuilles, comme une ombre chinoise, un puissant contre-jour cachant ses traits puisque derrière lui se trouvait une clairière qui réflétait la lumière... La lame de Mirian devint plus serrée dans sa paume, prête à gouter le sang, mais égalment prête à se défendre contre quiconque qui se montrait trop bête ou trop brave pour l'approcher ne serais que quelques millimètres de trop.... Sa lame était brandit devant elle, son violon toujorus non loin.. Elle n'osait pas le déposer sur le sol... Après tout, il représentait tant de choses pour elle que l'idée de le voir souillé ou pire détruit sous les pattes puissante du tigre, lui donnnait presque des haut-le-coeur mais en même temps, une rage plus intense, prête à se défendre mais défendre égalment ce qui était à elle...Elle se tut, espérant que l'être ne venait pas de l'Empire , ou du moins, qu'il ne la recnnaisse pas comme étant la fille du duc tué il avait plusieurs lunes déjà...

[J'espère que je ne vous dérange pas en m'incrustant, mais comme il n'y a pas d'autre endroit, sauf la ville de glace, ou je pourrais-être, eh bien, je suis venu ici]

Nathaniel marchait depuis maintenant quelques heures, à un rythme plutôt lent d'ailleurs. Il s'arrêtait à chaque arbre pour reprendre son souffle, n'étant pas habitué à de grands efforts physiques, et en plus, devaient faire bien attention à ne pas tomber parmi la végétation, ce qui était plutôt difficile vu sa cécité. Il se débrouillait en utilisant une branche avant laquelle il essayait de prédire où se situeraient les obstacles. Seulement, cette technique n'étant pas parfaite, il lui arrivait de tomber. Témoins de ses dérapages, ses jambes riaient de leur substence rouge. Puis, n'étant plus capable de faire le moindre pas, le jeune garçon se laissa tomber, dos à un arbre. Par chance, il ne se fit aucune blessure lors de la procédure. Puis, respirant bruyamment, il s'efforça de reprendre son souffle. Puis, une fois l'étourdissement de la fatigue envolé, il s'efforça de déplier ses jambes en ignorant leurs cris de protestation. Bien que superficielle, ces blessures lui faisaient un mal fou. Heureusement, pour la plupart, ce n'était que des écorchures, et, parfois, de la peau arrachée. N'étant pas témoin de cette scène, Nathaniel n'eut pas à réprimé le dégoût que lui aurait occasionné cette vue. Puis, il tendit sa main vers ses jambes, y apposant son index ainsi que son majeur pour mesuré la gravité des dégâts.

Tout en guérissant les multiples plaies dont il était le seul responsable, le jeune garçon se remémora le long périple qu'il venait de faire. Il était parvenu à quitter la ville de Glendîl par un coup de chance. De bons samaritains l'avaient accompagné, sans vraiment lui porter attention, jusqu'à la forêt, lui souhaitant un bon voyage. Depuis, voulant fuir la population ainsi que les guérisseurs essayant de lui dérober la technique secrète, il du voyager dans la forêt. Sortir de la ville lui prit quasiment une semaine. Et cela faisait maintenant un peu moins d'une journée qu'il était en forêt. Il se rendit à l'évidence. L'idée de fuire les guérisseurs étaient peut-être une bonne idée, mais la situation dans laquelle il était maintenant ne démontrait pas vraiment une amélioration. Comme s'ils lisaient dans ses pensées, les oiseaux environnent s'exclamèrent de leur chant réconfortant. La nature, bien que parfois dangereuse, n'en était pas pour autant désagréable. Une fois son traitement terminé, le jeune garçon se laissa tomber sur le tronc d'arbre, espérant un confort qui n'existait pas. Il ferma les yeux, réflexe datant de sa naissance, bien que ce n'était plus nécessaire pour lui. Il n'avait aucune manière de savoir s'il faisait encore jour, ou bien s'il faisait nuit. Il se décida donc à dormir quand la fatigue lui viendra, et en ce moment, il la ressentait.

Alors qu'il tentait de tomber dans sommeil profond et réparateur, une mélodie vint lui chatouiller l'oreille avec une noble insolence. Étais-ce son imagination, rêvait-il déjà ? La musique était si douce et emplie d'une énergie qui apportait la joie. Mais qui pouvait-il maîtriser un instrument avec une tel dextérité ? Il reconnu alors les douces sonorités d'un violon. Un être humain, il était temps. Alors que l'espoir de rencontrer quelqu'un pouvait lui venir en aide commençait à se développer en lui, la faim, qu'il avait ignorer tout au long de la journée, commença à importuner son estomac. Tout en soupirant, Nathaniel tenta, tant bien que mal, de se lever sans le moindre dommage corporel. Puis, il marcha, se dirigea grâce au son, s'efforçant de ne pas tomber. Seulement, alors qu'il sentait que bientôt il arriverait à destination, la musique s'arrêta. Nathaniel s'arrêta contre un arbre, reprenant son souffle. Lui qui s'était pressé, présentant ce malheur, n'avait maintenant plus aucune manière de se diriger. Il essuya le peu de sueur tombant de son front, prenant une gorgée dans la gourde dont il avait eu l'intelligence d'emporter, puis essaya de se souvenir de la direction à prendre. Marcher en ligne droite n'était déjà pas facile en forêt. Ce devait l'être encore moins pour un aveugle en forêt. À cette pensée, il ne put s'empêcher de rire. Quelle ironie !

Heureusement pour lui, la musique, même si, à ses débuts, réticentes, décida enfin de lui accorder sa confiance en lui montrant dignement le chemin. Il se remit alors en marche, décidant d'être prudent. Il valait mieux arriver entier à destination et en retard, que de ne tout simplement pas y arriver du tout. Cette fois, ça y était. Il était à moins de trente mètres de la cible qu'il tentait d'atteindre. Avec naïveté, il ignora les avertissements que lui lançait sa logique ; Peut-être étaient-ils dangereux ? Lui, qui avait toujours confiance en les autres, jusqu'à ce qu'on lui prouve qu'il ne pouvait avoir confiance, s'entraînait facilement dans des situation délicates. Encore quelques pas... Seulement, la musique s'arrêta, encore une fois. Puis, décidant d'en faire autant, il prit appuis sur un tronc d'arbre, pour changer, et reprit son souffle, pour faire différent. Puis, se disant que celui ou celle qui était responsable de cette musique enchanteresse ne devait plus être très loin, il tendit l'oreille. Comme si ses prières étaient entendues, une magnifique voie, bien que légèrement tremblante, lui parvint. C'était donc bel et bien une femme. Puis, ignorant la conversation qu'elle entretenait, il s'y dirigea.

Alors, qu'il s'arrêtait, encore une fois, pour prendre appuis sur un arbre, il glissa pour n'être arrêté par rien d'autre que l'herbe. Il était dans une clairière, et il entendait maintenant clairement la voie. N'ayant plus la force de parler, il demeura là, étendu, pendant quelques secondes, espérant ne pas mourir du manque cruel d'air qu'il ressentait en ce moment. Bon, il était parvenu à destination, maintenant, que devait-il faire ? Nathaniel devait avoir fier allure. Un étranger tombant maladroitement dans l'herbe, n'étant pas capable de se relever, soufflant comme un chien, les vêtements en piteux états après sa traversée dans les bois et les mains, ainsi que quelques endroits au visage, endroit où il essuyait vraisemblablement sa sueur, brunis par la terre. Bref, il ne manquait qu'une triste musique au violon, et on en aurait les larmes aux yeux. Il se mit alors à rire à cette pensée. Disons que cela n'améliorait pas l'opinion que les deux spectateurs devaient avoir de lui. Puis, essayent de se relever tant bien que mal, il se tourna vers ce qu'il croyait la jeune femme au violon pour lui adresser la parole. Bien sûr, il était visiblement décaler de quelques degrés.

- Bonjour... heu...

Qu'est pouvait-il dire d'autre que bonjour ? Les convenances, n'oublions pas les convenances.

- Enchanté de vous rencontrer... heu... Je me nomme Nathaniel A... Heu Nathaniel.

Mieux valait ne pas révéler son nom de famille, récemment assassinée, pour l'instant. Surtout qu'on avait dû publier des avis de recherche depuis sa fuite. Mais bon, pour l'instant, cela ne faisait qu'une semaine, alors... Il n'avait qu'à espérer qu'on n'ait pas eu la connaissance d'un Nathaniel parmi la famille Ashrims. Et puis, de toute façon, même s'il avait le même nom, cela ne voulait pas forcément dire qu'il était de cette famille.

- Pourrais-je heu... comment dire... Je suis sans argent et nourriture, et puis, je suis aveugle, voilà ce qui résume ma situation...

Puis, il mit la mains derrière la tête, se grattant le crane, mal à l'aise.

- Et vous ?

La silhouette, qui semblait avoir un pas hésitant, se rapprochait toujorus, peu à peu de la jeune femme... La lame ne vacaillait pas, droite, ferme dans la main de la violoniste rebelle... Elle était sur les terres de l'Empire alors elle aurait été étonnée de voir un arachne à cet endroit.. Seule elle était assez sotte pour venir jouer du violon en terrai miné d'ennmis... Après tout, ils étaient près de la capitale et elle aurait put se faire prendre, puis pendue sans même être jugée ni avoir droit rien que ce soit... Mais c'était toujours plus fort qu'elle l'appel de cette forêt... Cependant, aujourd'hui elle s'en voualit d'être vennue en ces lieux... Les paroles de sa mère , morte ou vivante elle l'ignorait, lui revinrent en tête... Elle lui avit dit le jour où aurait dut avoir lieux la cérémonie qui aurait lié Mirain à un seigneur d'une autre contré... Cela remontait à si loin maintenant.... C'était en coiffant les cheveux de sa fille que la duchesse, un sourire éblouissant aux lèvres avait dit à Mirian que dans la vie, rien n'arrivait pour rien.. Mirian se revoyait encore dans le miroir, avec les mains de sa mère qui nattait doucement ses cheveux en plantant ça et là quelques fleurs des champs fraîcement ceuillies... Peut-êtr que le dernier moment était venu pour Mirian et qu'il s'agissait d'un garde de la légion du roi qui l'avait trouvé et qu'il allait peut-être la ramener où il croyait qu,était sa demuere ou encore il allait l'amener simplement et tout bonnement au pilori... Le souflle de Mirian s'accéléra en même temps que les battements de son coeur...

non, il ne pouvait s'gir d'un garde... Sa silhouettte n'était pas assez dévloppée pour cela... Le roi et se généraux et autres officiers s,assuraient que les hommes qui étaient enrôlés de gré ou de force dans l'armée deviennent des vraies machines à tuer avec des tonnes de muscles et un cerveau de la taille d'un pois sec... Puis, elle vit qu'il marchait avec un bâton et qu,il sembalit avancer difficilement même... Elle crut qu'il allait tomber et elle s'approcha de lui, rangenat en un clin d'oeil sa lame dans son fourreau, son violon toujours serré dans le creu de sa main...L'home, si il en était un.... Oui il s'agissait bien d'un homme, semblait faible et blessé... Mirian s'approcha de lui... Il semblait étrange, ... Elle le vit tomber au sol comme l'une de ses petites poupées de chiffons qu'elle avait enfant.... Par la suite elle remarqua l'état lamentable et pitoyable de l'étranger...Même un voyageur n'avait pas une telle apparence... Et des cheveux si étranges.... Elle tenta de sonder son regard lorsqu'l redresa la tête veres elle mais n'y vit que...... que... En fait, elle ne voyait rien, comme si tout avait quitté ce regard, la vie, cette petite étincelle que les iris lancent en permancence.... non, rien de tout cela n'existait dans ce regard qui vous donnait froid dans le dos... puis sa voix s'éleva... Un instant, en voyant ce regard, Mirian cru qu'elle avait un cadavre devnt elle, un être qui d'une seconde à l'autre allait pousser son dernier soupir... Elle s'avança doucement vers lui pour mieux entendre sa voix... il sembalit faible et épuisé... il se présenta...

*Allons ma grande... Fait comme d'habitude...

-Bonjour... Je me nommme savirnael....

En fait, ce n'était aps entièremtn faux puisque son deuxième était était celui-ci... Elle avit pour habtiude de le prendre comme nom d'emprunt, le mensonge étant imperceptible pusiqu,inexistant... pûis, il l'entretint sur sa situation... Mirian haussa un sourcil... Elle sortit tout de même une outre d'eau... Elle la lui mit dans le creu de la main afin qu'il puisesse s'en prendre... Elle sourai donant du même coup un ton plus chalureux à sa voix....

-Buvez.. Cela vous fera du bien...

Éviter de parler de l'arachne pour l'instant.... Voilà qui était primordial pour maintenair sa couverture...

-Je suis une voyageuse amatuere de plein air... Vous êtes bien chanceux d'être tombé sur moi....

Elle rangea définitivement sa lame.. il n'avait pas l'air si dangereux que cela après tout et le tigre à ses côtés sembalit apprécier la jeuen femme... Si l'homme se montrerait agressif, snas doute l'animal attaquerait...

-Mais si vouss êtes aveugle, comment vous êtes vous rendu jus.... Oh laissez tomber c'est une quesiton sutpide... Vous avez du m'entendre jouer n'est-ce pas? Au mois, je peut vous poser la question suivante... pourquoi êtes vous en ces lieux? Je me croyais pourtant seule...

Une fois s'être présenté, Nathaniel se décida à faire les choses dans l'ordre. Il commença d'abord par reprendre son souffle, tout en attendant une éventuelle réponse de son interlocutrice. Étrangement, lui, qui avait l'ouï plutôt développé, conséquence de sa récente cécité, n'entendit pas la jeune femme s'approcher de lui. Bien qu'il lui était impossible de le remarquer, l'explication de ce phénomène était assez simple. Avec grâce, la jeune femme s'approcha du jeune garçon en atténuant le bruit de ses pas, réflexe d'assassin. Bien sûr, loin de posséder un tel résonnement, l'aveugle fut tout simplement épris d'un sursaut lorsqu'on lui tendit l'outre d'eau. De surprise, il avait même failli échapper cette dernière. Heureusement, ses nerfs, bien plus rapide que lui, sauvèrent la situation. Avec un sourire reconnaissant, il se dépêcha d'en boire quelques gorgées. Sa bouche, pâteuse par le manque de liquide, accueillit cette eau avec joie. Une fois désaltéré, s'assurant tout de même d'en laisser, par respect, Nathaniel ne put s'empêcher de soupirer d'un certain soulagement. Il sentait le liquide froid dessendre à travers son corps, le rafraîchissant de l'intérieure. C'était une agréable sensation. Il tendit alors l'outre en question, même si la direction qu'il pointait n'était pas en total cohésion avec le véritable emplacement de l'assassine.

Pendant ces quelques secondes, Mirian lui avait déjà adressé la parole. Comme il le faisait couramment, Nathaniel regretta sa cécité du fait qu'il lui était maintenant impossible de voir son interlocuteur. Sa voie, si douce et si chaleureuse lui inspirait confiance. Avec courtoisie, l'étrangère affirma se nommé Savirnael. Ce nom résonna à la tête du jeune homme comme une douce mélodie. De plus, c'était cette femme qui lui avait tendue avec générosité cette outre d'eau, espérent ainsi l'aider. Il était enfin parvenu à réellement s'échapper du cauchemard qui le précédait. La réussite de sa fuite parmi les guérisseurs aurait été bien futile s'il avait trouvé la mort en forêt. Heureusement que la terre était peuplé de bon et de bonne samaritaine. C'est alors que Mirian débuta la conversation. Elle essayait de détendre la situation en faisant plus ample connaissance. Il était donc tombé sur une voyageuse. Alors que Nathaniel pensait au fait que sa chance était énorme, on lui fit le même commentaire. C'était plutôt amusant de voir que parfois, de parfaits inconnus suivaient le même raisonnement que le notre. Un étrange schuintement lui vint alors à l'oreille. L'assassine, ne le considérant plus comme un danger, avait remit sa lame dans son fourreau. Seulement, encore une fois, la situation échappa à l'aveugle.

Puis, la question se posa enfin. Une fois s'être assuré de son état de santé, la jeune femme voulu savoir comment il s'était rendu jusqu'ici. Il était logique de raisonner ainsi. En fait, si on n'y réflichissait bien, c'était par un coup de chance inouï qu'il se soit rendu jusque là sans plus que des écorchures. Seulement, comment devait-il expliquer la situation à Savirnael ? Puis, décidant de commencer par le commencement, Nathaniel brisa le silence de sa voie douce et enjouée.

- Savirnael... J'aime bien votre nom ^^. J'aimerais bien vous dire qu'il vous fait bien, mais cela m'est malheureusement impossible ^^. Cependant, je suis certain que si j'en avais la possibilité, je le clamerais.

Voilà la première chose qui lui était venu en tête. Maintenant, il fallait réfléchir au pourquoi du comment. Décidant alors de se laisser un peu plus de temps de réflexion, le jeune homme enchaîna avec un sujet divers.

- Voyageuse ? Il est bien vrai que ce soit un réel coup de chance que j'aie fait votre rencontre. Pour ce qui est de moi, il n'y a pas vraiment quelque chose de particulier à dire. Mais bon, je suis encore jeune. Sinon... pour expliquer la raison de ma précense ici, eh bien... Je me suis, comment dire... J'essayais d'échapper à quelques personnes ne me voulant pas de bien.

Un part de vérité, sans toute fois la révélé entièrement. Le jeune garçon chercha alors à enchaîné, plutôt que de demeurer sur ce terrain glissant. Disons qu'il n'était pas un menteur accomplit.

- Voilà... Je me demandais si je pouvais voyager à vos côté, même si je risque de vous incommoder, pendant un certain. Jusqu'à ce que je me trouve un endroit où vivre dison... Je sais que c'est un grand service que je vous demande, mais comme vous êtes voyageuses et que je ne peux pas vraiment faire autrement...

Le jeune garçon attendait la réponse de son interlocutrice avec un certain malaise, conscient qu'il l'obligeait quasiment à l'aider, vu sa situation.

Le soufle du jeune homme ralentit doucement, peu à peu, presque imperceptiblement.. Mais Mirian était habituée avec les réflexes qu'elle avait développés, à remarquer chaque geste, chaque tressaillment de paupière de la part de l''être homme ou non devant elle.. De ce temps-ci, d'autres races se faufilaient entre les hommes, certains se disant elfes, d'autres nains et ainsi de suite...Cependant, pour la membre des forces rebelles, ceux-ci ne représentaient que des être de plus à tuer, à rayer de al carte... Ce n'était pas qu'elle était fonc ièremtn cruelle ou méchante... Non.. Mais elle connaissait ce qu'elle avait à faire et savait reconnâitre un onbstacle lorsque ceux-ci se dressaient sur sa route... Nathaniel, lui, ne sembailt pas être un obstacle....

*pour le moment du moins....*

Pendant qu'il reprenait peu à peu son souffle, Mirian le regarda rapidement...Aucune forme d,armes ne se distinguait sous ses vêtements, ni sur... Ce n'était surment pas un guerrier ni non plus un assassin, comme elle...Elle failli échapper un rire en le voyant sursauter au contact de sa main avec l'outre remplie d'eau... Elle l'avait remplie, quelques heures auparavant dans une clairière qu'elle avait traversée... Elle l'observa un instant boire à grandes dorgées le liquide clair... Elle ne savait pas depuis combien de temps il errait ainsi dans la forêt de l'empire mais cela devait faire un bon moment... Il semblait affamé, déshydraté, fatigué... L'eau purre coulait sur les coins de la bouche du jeuen homme à cause du débit trop fort ou à cause du top large goulot de la gourde.... Lorsqu'il la lui tendit avec un soupir de soulagement, Mirian la reprit et la bouchonna doucement avec un morceau de liège.... Elle remarqua le fait que le jeune Nathaniel lui rendait la gourde dans un direction quelqeu peu décalée par raprot à l'endroit où elle était.... Il semblait regarder dans le vide, voir quelque chose que nul ne pouvait voir alors que c'était pourtant l'inverse... La voix légère du jeune homme s'éleva dans l'air de la clairière... Il dit qu'elle avait un beau nom....

*Impossible... Ce nom est ridiculement laid.... Il représente mon passé, toutes ces choses que je déteste...*

Malgré ces pensées, elle parvint tout de même à lui répondre...

-Merci, c'est gentil à vous.... Vous ne me connaissez même pas depuis une heure et déja`vous me faites des compliments... Cela fait si longtemps que l'on ne m'en a guère dit..

*Allons donc... Ton chef ... L'autre jour il t'as dit que tu étais sa meilleure assasine, le jour où tu avait tué un autre noble...**

Ses pensées la firent doucement sourire...Un membre de l'empire de moins... Les mots de Nathaniel la ramenèrent à elle...

-Oui, je vous comprends... Mais on dirait que moi parcontre, je court d'avantage après ceux qui veulent ma perte...C'est plus fort que moi....

*De voir leur sang de bâtard sur ma lame*

-Je pourrais vous aider....oui.... mais vous n'avez même pas vu mon visage d'abord..

*Détourner la converstaion...Il ne doit pas te demander dans quel clan tu est... S'l le fait, tue le....*

-Passez moi votre main......

Elle tendit sa main vers lui afin qu'il l aprenne... Ainsi, il pourait savoir où elle était et il pourrait tâter son visage et visualiser ses traits....Même si cela était peut-être dangereux pour al sécurtié de Mirian, alias Savirnael...

[Bon, on tourne un peu en rond, il faudrait faire quelque chose ^^'']

Nathaniel souria lorsque Mirian le remercia de son compliment avec une certaine gêne dans la voix. Cette dernière affirma alors que cela faisait bien longtemps qu'on l'avait ainsi complimenté. Il était vrai qu'elle devait voyager seule depuis très longtemps. Puis, quand il parla de ses problèmes sans trop les pointer du doigt, la réponse que lui donna la jeune femme l'intrigua. Elle disait constamment s'attirer des troubles sans qu'il sache comment ni pourquoi. Ne voulant pas paraître indiscret, il ignora ce détail. De toute façon, la curiosité n'a jamais été l'un des traits dominant dans sa personnalité. Puis, vint alors le moment fatidique. La jeune femme affirma pouvoir l'aider, mais semblait hésiter sur un sujet. Il était loin de se douter de ce qui allait suivre. Ressentant les réticences de Mirian devant lui, le jeune garçon décida de s'excuser et de continuer son chemin. C'était bien trop demandé que de vouloir qu'on l'accompagne jusqu'à ce qu'il trouve refuge dans un foyer sécuritaire. Il venait tout juste de la connaître, et ce service était beaucoup trop important. Seulement, alors que Nathaniel s'apprêtait à parler, il s'interrompu lorsque la jeune femme éclaircie sa pensée. Elle voulait qu'il puisse imaginer son visage. Ne sachant que faire, il n'osa point bouger. Lorsqu'on lui prit la main, il se laissa faire, jusqu'à sentir la joue de celle qui se trouvait devant lui.

Le jeune garçon s'efforça de concentrer ses pensées ailleurs, étant légèrement mal à l'aise. Nathaniel commençait à ressentir la fatigue de la journée pesée sur sa personne, venait d'en être exenté. Il sentit alors un liquide chaud couler le long de sa jambe, preuve de sa maladresse en forêt. Même si la douleur était plutôt cuisante, devant cette jeune femme, il ne serait pas très intelligent d'utiliser ses pouvoirs de guérion. Ainsi, il s'efforça d'ignorer cette sentation dont il avait fait si rarement l'expérience. La douleur physique lui était complètement inconnue, ou presque. Rares étaient les fois où il avait eu l'occasion de se blesser, et en ces occasions, sa famille l'aidiat aussitôt en faisant disaparaître la plaie. Puis, depuis quelques semaines, il avait ressentit le comble de la douleure. Tout commença le jour où sa famille fut assassiner en quelques heures. Il entendait encore leurs cris horrifiés ainsi que leurs gémissements de douleur. À cette pensée, la tristesse l'envahit alors, lui permettant enfin d'oublier le contacte de sa main contre la douce peau de Mirian. Des larmes commençaient alors à se déverser à flot de ses yeux alors que sa gorge se serra. Puis, ne voulant pas importuner son interlocutrice, il retira doucement sa main et s'essuya le visage, faisant disparaître sa tristesse instantannément.

Son sourire revenu, il s'efforça d'oublier ce souvenir.

- Heu... D'où venez-vous ? Je veux dire, est-ce que vous vivez quelque part, ou bien, vous voyagez sans cesse ? Moi, je n'avais jamais quitté cette ville jusqu'à aujourd'hui. Il est vrait qu'avant, j'avais une famille et un toit.

Puis, laissant s'échapper un léger soupire, espérant ainsi se débarasser définitivement de sa douleur, il continua la conversation.

- C'est dommage qu'on se rencontre en ce temps de guerre entre l'Empire et lui-même. Alors, où allons-nous ?

La forêt se faisait dense autour d'eux, les bruits ds oiseaux étouffées par les feuilles et les arbres compactes.. Le seul bruit que l'on entendait était le petit ruisseau non-loin où mirian avait remplit son outre quelques minutes plus tôt... La robe noire de Mirian frôlait le tapis de feuilles mortes lorsqu'elle se rapprocha de Nathaniel... Son violon se balançait doucement au gré de ses pas, son archet frôlant les cordes tendues et quelques notes résonnèrnt dans l'air frais...Déposant son instrument sur une souche où il serait stable, elle s'approcha du jeune homme devant elle.... Elle prit doucment sa main et la posa sur sa joue.. Pour elle, il était inconcevable que, premièrement, elle voayge avec un membre de l'empire et que, deuxièment, ils voyagent côte à côte sans que l,un des deux ne connaisse le visage de l'autre... Elle avait vu celui de natahaniel bien sûr, mais elle trouvait stupide le fait que seulement elle ait put voir le visage de son interlocuteur...

Elle avait pourtant pris doucement la main de Nathaniel pourtant elle le sentit trembler lorsque la peau légèrement rêche des sa main toucha la joue de la jeune femme... Il retira rapidement, du moins pour Mirian, sa main de la joue de l'assassin... Quelques secondes après elle vit de l'eau perler sur le bord des yeux du jeune homme.. Ce pouvait-il que cela soit ce que certains appellait des larmes ? Elle remarqua par al suite le fait que le jeune homme essuyait se yeux avec le rever de sa manche, y laissant un rond humide... Ainsi donc il... pleurait? Du moins, il avait pleuré même si maintenant, son visage n'exprimait plus aucune tristesse..En fait, il ne démontrait plus qu'un sourire, regardant légèrement en biais a cause de sa cécité...Puis, il lui posa une question quelle ne voualit pas entendre...Elle se devait de lui dire...

-En fait, je viens des territoires que l'empire a décidé de donner ou plutôt à été forcé d consender aux mmbre des forces rebelles de l'Arachnide... Et je me dois d'y retourner...`Dès que...

*assez de sang aura coulé*

- J'aurais fini ici, je m'en retournerai... Enfait, j'avais prévu de repartir aujourd'hui....

Elle remarqua son soupir et le sang écaralte qui commençait à tacher le tissu sur son pantalon...

-Vous êtes blessé.... Vous ne devriez pas marcher....

Valdrack était réster à côté de mirian tout le temps, lorsque le jeune homme était apparue il avait sue dés le premier regard qu'il n'était pas méchant et avait donc décidé de réster tranquille. Au bouts d'un petit moment il entendit les de jeune gens parler de partirent. IL se leva donc et se dirigea vers ces deux êtres, puis commença à tourner autour de deux. Si il voulait sortirent de cette fôret il les conduirait à travers elle, il serai ainsi en sécurité à ces côté et les annimeaux ne risquait rien de ces individue. IL allors au bord des bois et se retourna vers les deux personne attendant que celle-ci daigne le suivrent. Sa musculature puissante ne l'empêcher pas d'être aussi discret et seul lorsqu'il avait froller l'homme qui semblait aveugle, il avait pu être repéré par celui-ci.